Madame Bei s’approche avec difficulté de l’animal et marmonne quelque chose. En tendant l’oreille, je reconnais les deux syllabes “Dou-mi”, difficilement intelligibles si je n’y prête pas attention. Le chow-chow ne la calcule pas.
Je trouve ça très intéressant, autant l'histoire elle-même que les coulisses, apprendre comment se construit un tel projet, la réalité derrière ce qui finit par sortir... ou pas. Merci d'avoir fait vivre ici l'histoire de Mme Bei.
Et Doumi / Tommy m'a rappelé une vieille conversation que j'avais eue avec un Chinois, où on avait constaté que la distinction sourde / sonore pour les consonnes n'existait pas en chinois. Ça m'avait fait prendre conscience à quel point la langue détermine ce qu'on "entend" ou pas (et les sons qu'on est ensuite capable de reproduire).
Ravi que l'histoire de Mme Bei et de son chien ait trouvé un écho ici ! Très intéressante la réflexion sur la langue, ça me rappelle des "erreurs" de prononciation de mon père qui butait sur certaines consonnes de mots français. Je n'arrivais pas à comprendre comment c'était possible d'avoir ce blocage quand j'étais petit
Je trouve ça très intéressant, autant l'histoire elle-même que les coulisses, apprendre comment se construit un tel projet, la réalité derrière ce qui finit par sortir... ou pas. Merci d'avoir fait vivre ici l'histoire de Mme Bei.
Et Doumi / Tommy m'a rappelé une vieille conversation que j'avais eue avec un Chinois, où on avait constaté que la distinction sourde / sonore pour les consonnes n'existait pas en chinois. Ça m'avait fait prendre conscience à quel point la langue détermine ce qu'on "entend" ou pas (et les sons qu'on est ensuite capable de reproduire).
Ravi que l'histoire de Mme Bei et de son chien ait trouvé un écho ici ! Très intéressante la réflexion sur la langue, ça me rappelle des "erreurs" de prononciation de mon père qui butait sur certaines consonnes de mots français. Je n'arrivais pas à comprendre comment c'était possible d'avoir ce blocage quand j'étais petit