Alain*, un autre membre du collectif, me serre la pince. Il a d’énormes paluches. C’est un grand gaillard, l’allure anarcho-punk, un peu voûté, qui débite comme s’il avait pris du speed. Il parle des exilés comme de « ses gars ».
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tu n'auras pas besoin de fouiner longtemps normalement 🤭
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